snaque&didier

*ce mais a défiler avec son fléau*
ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard


ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard


ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

ça ces mon fléau
et ça ces mon dard
deux bon soldat
et un peu fêtard

*attrape son fléau et fait ça prieure*
ça ces mon fléau,
ils y en a beaucoup comme ça,
mais lui ces le miens,
mon fléau ces mon vrais copain,
lui ces ma vie,
il faut que je dirige mon fléau comme je dirige ma vie,
car sans moi mon fléau ,ne serre plus a rien,
et sans mon fléau , je ne serre plus a rien,
je fait ,que pour mettre dans le milles,
j'ai plus de précision que mon ennemie qui essai de m'abattre
ces moi qui doit l'abattre avant qu'il ne mÂ’abatte
et je souhaite...
et je promet...
au grand ancien de garder cette fois
que moi et mon fléau préserverons notre syndicat du cancer qui gangrène mars
nous somme maitre de notre ennemie
nous somme sauveur de notre vie
que les grand ancien m'aide
jusqu'à qu'il ni est plus d'ennemies
amen

*embrasse Didier*

*Je reçois un message de ma Fuam, a qui j’avais l’air de grandement manquer, je disais que sur une période de calme, je pourrai passer quelque jour avec elle, je prévenais donc Lugana que je partais quelque temps chez notre pacte de métal n histoires d’aller priez avec Didier dans leur temple*

*A peine arriver, a peine après avoir franchi les porte syndical de Erinyes qu’une folles dingue d’infirmières ce jette sur moi a coud de barre a mines.*

*Apres un petit passage dans mon caisson, a cause d’une infirmière blonde trop preaucoupe à faire bronzette, je retrouve le temple d’Erinyes avec Fuam pour faire une petit prieure avec mon fléau*
Ça ces mon fléau,
Ils y en a beaucoup comme ça,
Mais lui ces le miens,
Mon fléau ces mon vrais copain,
Lui ces ma vie,
Il faut que je dirige mon fléau comme je dirige ma vie,
Car sans moi mon fléau, ne serre plus à rien,
Et sans mon fléau, je ne serre plus à rien,
Je fais, que pour mettre dans le milles,
J’ai plus de précision que mon ennemie qui essai de m'abattre
Ce moi qui dois l'abattre avant qu'il ne m’abatte
Et je souhaite...
Et je promets...
Au grand ancien de garder cette fois
Que moi et mon fléau préserverons notre syndicat du cancer qui gangrène mars
Nous somme maitre de notre ennemie
Nous somme sauveur de notre vie
Que les grands anciens m'ai
jusqu'à qu'il ni est plus d'ennemies
Amen

*embrasse Didier puis Fuam, qui le regarde d’un air choquer, suite a ceci je parts prendre mon poste et lire les infos dédier au commando, après que le leader aillent fini de cuvée dans sous son bureaux*
« -Oulla, ces quoi cette histoire avec les fou de droogs ? Veulent quoi ? Molokover Kim ? «
*lève Didier et lui parle*
« -on va peut être resté plus longtemps, on pourra avoir enfin quelque nouveaux jouer avec qui s’amuser «

*Cela faisait plusieurs jours que Didier et moi on tournait en rond dans le syndicat Erinyes. On attendait que les bouffons de Jojo se décident enfin à agir. Didier me dit qu’on pourra peut-être aller voir au MarsBall, je prends la direction de l’arène.*
*A peine arrivé, je tombe sur Jarkan et Alfgard qui se faisait allègrement démonter par Arkangella. Je me moquais de lui avec plaisir quand il me mit au défi de faire mieux.*

« -Tu vas voir c'est quoi un homme, un vrai… »

*Je mets les pieds dans l’arène devant Arkangella, si mince. Comment une si petite chose fragile peut-elle exploser un homme, un vrai ? Je laisse Didier de côté, par courtoisie...*

« -Aller petite, honneur aux femmes. Si, j’insiste. Envoie la sau.. »

*Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, que je me retrouvai allongé au sol, en train de bouffer le gazon. Je me retourne pour la voir dans la zone de but, un grand sourire. Elle me sort que ça devrait être rapide. Cela s'est avéré vrai : rapide, et j’ai mangé plusieurs fois le gazon. Le match fini, en sortant de l’arène, je regarde Alfard, me tenant le dos et lui dit :*

« - La prochaine fois que tu as une idée aussi lumineuse, propose-la à Didier. Par contre méfie-toi : il aime pas perdre, lui… »

*Je repars comme je le peut vers ma concession.*

« - J’espère que Fuam sera là, pour me masser… »

*J'écoute Didier.*

« - Non, tu ne peux pas me masser, toi. Tu n’as pas le même doigté que Fuam. Vas-y, fais pas la tête, plus tard je trouverai bien un jouet avec qui se détendre »

*Je caresse Didier pour le calmer.*

*Cela faisait plusieurs jours que Didier et moi on tournait en rond dans le syndicat Erinyes. On attendait que les bouffons de Jojo se décident enfin à agir. Didier me dit qu’on pourra peut-être aller voir au MarsBall, je prends la direction de l’arène.*

*A peine arrivé, je tombe sur Jarkan et Alfgard qui se faisaient allègrement démonter par Arkangella. Je me moquais d'eux avec plaisir quand ils me mirent au défi de faire mieux.*

« -Tu vas voir c'est quoi un homme, un vrai… »

*Je mets les pieds dans l’arène devant Arkangella, si mince. Comment une si petite chose fragile peut-elle exploser un homme, un vrai ? Je laisse Didier de côté, par courtoisie...*

« -Aller petite, honneur aux femmes. Si, j’insiste. Envoie la sau.. »

*Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, que je me retrouvai allongé au sol, en train de bouffer le gazon. Je me retourne pour la voir dans la zone de but, un grand sourire. Elle me sort que ça devrait être rapide. Cela s'est avéré vrai :
rapide, et j’ai mangé plusieurs fois le gazon. Le match fini, en sortant de l’arène, je regarde Alfgard, me tenant le dos et lui dit :*-

« - La prochaine fois que tu as une idée aussi lumineuse, propose-la à Didier. Par contre méfie-toi : il aime pas perdre, lui… »

*Je repars comme je le peut vers ma concession.*

« - J’espère que Fuam sera là, pour me masser… »

*J'écoute Didier.*

« - Non, tu ne peux pas me masser, toi. Tu n’as pas le même doigté que Fuam. Vas-y, fais pas la tête, plus tard je trouverai bien un jouet avec qui se détendre »

*Je caresse Didier pour le calmer.*

*Une nouvelle journée à tourner en rond entre creuse, syndicat ou MarsBall.*

*Après une série de match entre amis, je vois une bestiole de plus de deux mètres, cornue, sentant fortement la viande faisandée. Il s'agit de Taurus, la saleté!
Il y a pas dire, il est plus doué au MarsBall que pour se trouver une femme.*

*Vu que j’en avais assez de me prendre des roustes, je décidais d’aller voir si rien n’avait bougé sur ma concession.*
« -Allez les filles, je vous laisse, le devoir m’appelle… »

*J’attrape Didier, arrivé sur ma concession, je commence mon inspection. Je remarque des traces de pas qui ne devraient pas être là.*
« -C'est quoi ça encore? Qui peut bien laisser de telles traces? En tout cas c'est pas la discrétion son point le plus fort… »

*J'eus à peine le temps de me relever, qu’une odeur de putréfaction m’entoure, et oui, forcement cet imbécile de Taurus pensait réellement me surprendre.

C'est loupé, il me tourne autour comme un Terrorpod en chaleur, il cherche surement à m'immobiliser, fier de lui et de son dernier achat. Je serre fort Didier.*
« -Prépare toi mon pote, des qu’il s’avance on lui expliquera comment tu t’appelles … »

*Taurus est venu porter la guerre et la souffrance sur mes terres.Il se jette dans ma direction, tête baissée. Il m’en faut pas plus, je lève Didier et vise sa tête. En un coup je l’assomme, une fois au sol, je le martèle de coups répétés, histoire qu’il comprenne qui est le boss sur ma concession, c'est à dire Didier. *
« Alors mon brave Taurus, tu étais bien plus à l’honneur dans l’arène ? Mais là… »

*Cette plaisanterie me fit me rappeler que je devais aller voir Francis, je décidai donc de préparer mon déménagement.*